Podcast #28 : Les jeux vidéo dans les 80’s

Salut les gamers et les gameuses,

Oui, le voici enfin, réclamé à corps et à cris, le numéro sur les jeux vidéo dans les années 80 avec Yetcha, Gizmo et Nikolah drivés par un host de circonstance avec Mikadotwix. Jolie surprise, ils seront accompagnés par un VIP de choix à savoir Sylvain Tastet aka Hoopy journaliste à JV Le Mag, podcasteur dans ZQSD et co-scénariste de la BD Barouf. Mais pourquoi lui et pas un autre me direz-vous! Je vous réponds, pourquoi un autre et pas lui… Alors comme nous n’allons pas aller bien loin avec cet argumentaire, le mieux est de dire que Sylvain, avec Patrick Hellio et la cafetière ont lancé un Kickstarter pour la réalisation d’un ouvrage sur les jeux vidéo dans les années 80, vous pouvez même encore y contribuer ici même et ainsi prendre connaissance du projet.

Vaste sujet et très passionnel dans l’équipe donc difficile de faire concis. Un beau et long podcast donc, qui va aborder l’arcade, les Game & Watch, la micro mais aussi les consoles de salon avant et après le krach de 1983. Une partie sur le retrogaming clôturera cette emission où vous retrouverez également une sélection des jeux préférés des membres de la Eighteam.


Un grand merci à Mister Wizz pour l’idée du générique et à Tosmo de La Caz’ Rétro qui nous a aiguillé pour sa composition façon chiptunes.

Vous retrouverez ci-dessous des liens concernant la préservation du patrimoine vidéo ludique dont Yetcha vous parle durant le podcast.

Documentaire NHK Inside Lens de 28’ disponible seulement jusqu’au 12 décembre, en anglais, mais très simple à comprendre et passionnant concernant l’association Japonaise Game Preservation Society, co-fondée par un français qui vit au Japon. http://www3.nhk.or.jp/nhkworld/en/vod/lens/20161128/

Conférence lors du Stunfest 2012 : http://www.nesblog.com/comment-conserver-le-patrimoine-videoludique-et-transmettre-sa-culture-avec-rm/

Publications de Nicolas Esposito, enseignant-chercheur à Gobelins, l’école de l’image et intervenant dans plusieurs universités :

Emulation et préservation du patrimoine culturel lié aux jeux vidéo (2004)

Panorama des approches pour la préservation des jeux vidéo (2011)

Exemple de la préservation Jeux Vidéo (2013)

En espérant que vous apprécierez cette émission, n’hésitez pas à mettre en commentaires vos souvenirs et meilleurs jeux sur les machines citées et à très bientôt.

 

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9 réponses

  1. dominique dit :

    Encore une fois, j’ai beaucoup aimé le podcast 😉 avec un sujet qui m’intéresse plus que le sport. Pour moi l’informatique/jeux vidéo dans 80’s c’est mon mo6 tout d’abord. Ne riez pas , … l’aigle d’or, le temple de quauthli , numéro 10 (ouh que c’est moche) , puis découverte d’enduro racer sur master system chez un ami. La claque dans la tronche , quand on compare avec que faisais un micro 8bits….
    Comme Master Subby , je suis master system même si j’aime bien aussi la Nes que je pouvais tester chez les copains.

    Pour l’aspect préservation , l’émulation avec mon rpi2 et recalbox me conviennent tout a fait. Virer dans la collectionnite ne me tente pas, niveau budget déjà mais surtout niveau encombrement. (En passant , j’essaierai bien de me dégoter une vieille master system1 et de mettre mon raspberry dedans)

    Idem pour moi, zelda 2 est un jeu plus que culte avec une bande son … j’ai joué a ce jeu récemment sur ma Tv 50″ avec le mode scanlines étiré plein écran (oui, j’entends les cris de ceux qui me lisent). Pixelisé mais propre et Zelda 2 est toujours aussi prenant , mais bon dieu ce qu’il est dur … Même avec un patch qui abaisse la difficulté , sans soluce c’est quasi impossible a moins d’être un nolife au chômage.

    • Yetcha dit :

      Merci dominique pour ce retour plein de beaux souvenirs et une remarque dure, mais bien réelle, je cite “c’est quasi impossible a moins d’être un nolife au chômage” qui est valable pour un sacré paquet de jeux rétro, voire quelques récents également d’ailleurs. Le projet du rpi2 dans la superbe Master System (oui je l’aime aussi, enfin, je parle de la version 1, la seule, la vraie quoi) est une belle idée, il ne faudra pas manquer de nous mettre une photo sur les réseaux sociaux avec l’écran allumé derrière sur un jeu totalement en décalage avec cette console de Sega, ça sera rigolo. Et merci encore pour ta fidélité.

  2. Reverend-Z dit :

    Bravo pour ce podcast héroïque, je vous écoute en catimini depuis un bon moment et j’interviens ici car vous avez brillamment parlé de mon plaisir coupable, à savoir le CPC464 ! Le caractère sacré que revêt cette machine pourtant déjà dépassée à sa sortie est pour moi sans doute dû au fait que c’est mon premier contact avec le jeu vidéo tout court, Cauldron II étant mon tout premier jeu d’une liste infinie. L’imaginaire restait alors le meilleur des DLC, rendant le soft le plus obscur aussi lumineux qu’un phare dans nos mémoires. Oui, je suis lyrique ce soir, mais c’est à cause de vous !

    • Yetcha dit :

      Merci Reverend-Z mais j’espère que votre côté lyrique du soir est “grâce” à nous, et non pas “à cause”, comme vous le signalez. Je me doute quand même de la réponse ;o). Le côté héroïque de ce podcast est réel car on a travaillé tard, et Mikadotwix a bossé d’arrache pied pour livrer un montage de grande qualité. Encore merci à vous pour votre retour, et vive le CPC!!!

  3. Gizmo dit :

    Salut à tous!

    Un petit complément pour les amateurs de PC des 80’s et du Point&Click:

    – Remake de Jeux Sierra en mode VGA et jouable sur Windows et Mac:
    http://www.agdinteractive.com/ pour King’s Quest I, II et III ainsi que Quest for Glory II
    http://www.infamous-adventures.com/home/ pour Space Quest II
    Un remake de Space Quest III était en cours depuis 2006 mais a été abandonné
    Les versions origianales CGA, EGA et VGA sont disponibles sur GOG.com a des prix souvent cassés

    – Lucasfilm Games (aka Lucasarts) a son meilleur jeu des années 80 “Zak McKracken” en version amélioré VGA sur Gog.com également (Monkey Island, c’est les 90’s 🙂

    J’espère que les personnes ayant passé des nuits à chasser le sous marin dans la mer rose de “GATO”, ou exploré les mondes infinis de “Starflight” ou enfin celles ayant eu l’impression de vraiment conduire une voiture des “Test Drive 1” auront apprécié le voyage dans le temps 🙂

    Bonnes fêtes.

  4. chrys dit :

    Merci bien pour ce podcast très intéressant et fouillé.
    Ca me donne envie de voir le docu sur le crash atari et de commander le livre associé jeux vidéo dans les années 80.
    En recherchant sur le net, j’ai même vu que vous planchiez sur un volume pour les jeux vidéo des années 90, très intéressant aussi.

  5. ElGregos dit :

    Houlà, GROSSE erreur sur le nb de couleurs de l’Amiga ! Pour avoir pratiqué l’Amiga 1000, 2000, 500, 4000, 1200 et même 3000 (non, pas le 600) ainsi que Deluxe Paint 2, 3 et 4 depuis 1988 à titre perso et dans mon boulot de graphiste chez Delphine Software (Shaq-Fu FTW), NON, l’Amiga n’était pas limité à 16 couleurs. Je ne parle pas des versions AGA des A4000 & 1200 sortis plus tard, mais bien des Amiga natifs qui, du moins dans la résolution 320×256 qui était de loin la plus courante dans les jeux, affichait 32 couleurs parmi 4096. Il existait aussi le mode EHB (Extra HalfBrite) qui offrait 64 couleurs, les 32 premières définissant aussi les 32 suivantes : ce sont les mêmes mais avec les valeurs RVG réduites de moitié, donc plus sombres. Il y avait aussi le mode HAM (Hold And Modify) qui affichait les 4096 couleurs en même temps mais c’est grâce à une astuce (chaque couleur modifiait la couleur de son voisin de droite) qui rendait l’image baveuse. Et je ne parle même pas de la copperliste (vous savez, l’effet “rouleaux” en dégradés, souvent utilisés pour les effets de ciels : Gods, Fire & Ice, etc.) ou les astuces software pour augmenter encore le nb de couleurs (Shadow of the Beast par ex.). Donc, dès le début, l’Amiga affichait 32 couleurs et non 16. Ceci dit, certains jeux sortaient en 16 couleurs sur Amiga pour faciliter leur conversion de ou vers l’Atari. Car oui, les Atari ST étaient bien limités à 16 couleurs parmi 512. Les Bitmap Brothers étaient connus pour n’utiliser que 16 couleurs sur Amiga, et il faut bien dire que malgré cela leurs jeux étaient magnifiques.

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